dimanche 31 juillet 2022

VOUS AVEZ ECRIT...GARGAMELLES ?

 

VOUS AVEZ ECRIT ……GARGAMELLES ?

UNE INSULTE PUBLIQUE, FAITE AUX FEMMES,  DANS UNE REVUE MUNICIPALE..LE MAC  ?

Mais bien évidemment, mesdames, mesdemoiselles Saint-Lysiennes, vous venez d’être rangées, parait il, au titre de GARGAMELLES, puisque ce qualificatif ne se conjugue qu’au féminin …C’est la liste majorité qui l’a écrit !

« Gargamelle ? Epouse de Grandgosier, dixit grande gueule, et fille de Parpaillots, en patois local saint Lysien, celles et ceux qui bourdonnent de la tête ! »

                              FAREN TOUT PETAT …ET BOUTO Qué BIRO !

 Dans le dictionnaire des noms de villes et villages burlesques dont Saint Lys à toute sa place actuellement,  nous avons eu un message d’un occitan très connu, en vacances actuellement dans l’Eure, à Thoré plus précisément, à savoir Mr Cussonnet Simon,  originaire de « Montcuq », éminent chercheur de ce patois occitan, qui nous confirme que Gargamelle ne peut s’adresser qu’au genre féminin. Après lecture du texte de la majorité du Conseil Municipal de StLys, paru cet Eté à Saint-Lys, ce qualificatif peu flatteur ne s’adresserait qu’à des Saint-Lysiennes.

                         MESDAMES…VOUS N’ÊTES QUE DES GARGAMELLES

Pour ce faire et par précaution, ont été consultés des collègues de « Vatan », de « Latronche », de « Corps Nuds », mais aussi l’intellectuel de « Bèze » et son adjoint domicilié un temps à « Ballot » afin, qu’avec ce chercheur,  ils tombent d’accord sur le texte non publié de l’ancêtre de « Poil », prés de « Montéton » .

« Gargamelle » serait bien une insulte publique que ne mérite pas le sexe féminin et que les Schtroumpfs doivent réhabiliter, comme le précisent les honorables révérends du village de « Trécon », prés de « Sainte Verge », et l’écrivaine « d’Arnac », reconnue d’une honnêteté remarquable quant à la traduction intégrale des textes sacrés écrits, lors de la fondation des bastides, fleuron d’Occitanie.

( les mots entre guillemets sont des noms de villages authentiques de France)

                                RUMEURS SOUS LA HALLE JOUR DE MARCHE !

                                       QU’EN PENSEZ-VOUS MESDAMES ?

 « je suis..estarbournido ! »

E  tu ?

«  aquesté souair..la cuque ba canta ! »

Mais encore.. ?

«  oun counseil..suis partido .. » fasion, d’un cop,  lanléro avec moun biel ! »

Et de poursuivre..Prés de la  pompe …

«  aquét es un touco manéto ! un fréluquet . té disé ! » 

……………………………………..Et d’entonner..…Sé canto..qué é canto…. !!!!!

Enfin..Celle de malebranque, la Marie-Jeanne,  dizio au volant de sa  bécane :

« lé toupil qué sé fout dé l’oulo…celui qui traite l’autre de gargamelle est aussi une gargamelle ! ah ! ah !  ah !  ah ..aquét  és un azé ! »

MORALE : «Tel est pris celui qui croyait prendre ! » disio lé trimar dou cap dou camin !

 Dans une assemblée..Il y a toujours des rampants mais aussi celles et ceux  qui se tiennent debout, à genoux, avec ou sans canne,"Art Land. Rose oblige), on claudique, on boîte du couvercle, on se marche sur les palmes...pas très académiques,  on blagoussége ( mot du parlé du patois local), l'airain distille,  on fait lard où ...pour une poignée d'indice....soutirée de nos besaces                                      

 Signature : Les GARGAMELLES …" Las  Drôlos dou billadgé !" 

Ces textes  de "qu'en pensez vous mesdames, sont écrits en phonétique eu égard à l'humeur..pardon à l'humour des anciens de la Bastide !

Pardon pour celles et ceux qui ne peuvent pas en traduire la finesse.

mais nous aurons l'occasion de vous en donner tous les sens, lors d'une réunion...

 dans un cadre bien défini !!! 


 

samedi 30 juillet 2022

RENTREE SCOLAIRE à SAINT LYS..A QUAND UNE REUNION PUBLIQUE FACE AUX PARENTS AFIN DE BIEN ET MIEUX EDUQUER NOS ENFANTS ?

CPAR : quel impact sur la vie scolaire de nos enfants ?

 


Nous vous communiquons, ci-après, le courrier adressé à des parents d’élèves par l’inspecteur de l’Education Nationale en réponse à leurs questions sur la carte scolaire.

Le passage que nous citons de M. Stéphane RESPAUD – inspecteur de l’Education Nationale nous interpelle. En effet, il écrit «qu’un hôtel* situé à proximité de l’Ecole Tabarly accueille des enfants dont les familles doivent quitter le territoire national. Dans l’attente de l’exécution de cette décision, la commune de Saint-Lys a l’obligation de les scolariser. La mairie ne maitrise pas les arrivées sur cet hôtel et ne peut pas les anticiper. Cette année, cela a conduit l’équipe enseignante de l’Ecole Tabarly à devoir s’adapter en continu à des élèves et des familles ne maitrisant pas la langue française et en situation précaire» .

*Résidence Hôtelière des ondes, 52 appartements (c’est nous qui précisons)

Ces termes nous rappellent, bien sûr, le CPAR : Centre de Préparation Au Retour dédié aux étrangers en situation irrégulières, déboutés du droit d’asile et en grande précarité.

Ce CPAR, qui devrait s’installer en lieu et place de la maison de retraite « La joie de Vivre » qui déménage à Fonsorbes début 2023, est toujours d’actualité. 126 personnes immédiatement remplacées dès leur départ du territoire par d’autres demandeurs d’asile déboutés. (cf CR du Conseil Municipal – séance du 11 Octobre 2021).

Les problèmes évoqués par ces écrits ne sont que les prémices de situations plus importantes et plus graves à venir.

Doit-on comprendre que l’hôtel des Ondes va devenir une annexe du CPAR, augmentant ainsi le nombre de migrants et des enfants ?

Ceci ne mérite-t-il pas une réflexion plus approfondie de la part de tous nos élus afin d’appréhender tous les problèmes à venir ?

Il devient urgent que M. le Maire organise avec sa majorité une réunion publique d’information auprès des Saint-Lysiens.



dimanche 24 juillet 2022

CES MOTS TIRES DE LA GORGE DU PATOIS SAINT LYSIEN !

 INTRODUCTION

A la suite de la profanation des tombes de nos ancêtres, place des acacias, en lieu et place du cimetière et de la chapelle, en décembre 2021,  décidée par la municipalité de l'époque, l'ensemble connu, repéré et signalé aux archives de la commune de Saint-Lys, j'ai décidé de créer une rubrique des mots tirés du patois local, tels ce parlé de la BASTIDE de SAINT LYS.

Ma vie durant j'ai, comme bien d'autres saint-lysiennes et saint-lysiens, qui se reconnaîtront, garder comme un trésor culturel et identitaire de ce qui appartient, à jamais à SAINT LYS. lés patois..!!!

Je sais, que les " adjouamé" actuels, plus prés de la touche...du clavier, que de la Sergent Major sinon aussi de cette "Gauloise"..grivoise,  à la pointu(e) bien affûtée, seront surpris de ces mots. Ils sont le vrai "parlé" de SAINT LYS, franc, direct parfois détergeant,moussant, vexant,  ont la puissance de se "foutre " pardon de se moquer, comme disent les illustres ignorants.

A chaque fois, les mots, les expressions, les interjections ont cette saveur de l'humour occitan et donc ont une signification différente en fonction de la situation..attention à l'époque il fallait suivre...sinon se faire prendre ? pendre ?

Ces mots sont tirés d'un document que j'appellerai " LE DICTIONNAIRE DE MAMAN !

Régalez vous, buvez jusqu'à la lie, et à servir sans modération à celles et ceux qui n'ont rien compris dans ce siège éjectable.

Pierre Villeneuve, le fils de la campanaïre...Celle qui aurez pu vous sonner les cloches ! 

       ********************************************************

UN SOIR AU CONSEIL MUNICIPAL...

..." aquét..a lé bént rapata l'esquino " 

traduction

" celui là...a le ventre contre l’arrière du bassin..."

il pouvait être maigre, mais aussi cussou..avare...radin

AU HASARD RUE DES REMPEAUX 

...a régo torto ..blat porto...

traduction

le cultivateur avec son soc traçait des rangs tordus...et disait que le blé donnait mieux

Mais aussi au sens figuré ...

..quelqu'un marchait de travers, boiteux ou ivre mais s'en sortait bien .
Nous tairons pour l'instant la traduction très ..imagée...  des élu(e)s

AU STADE DE RUGBY SUR LE TERRAIN DE L'HÔPITAL

...fas pas qué tournat lé saintiroulet...

traduction

Les supporters portaient presque tous un béret. En fonction du score, ils prenaient leur béret et tournaient le bout de tige qui était sur le haut du béret pour calmer leurs nerfs ou pour applaudir

 

A LA VUE D UNE FEMME MOUSTATCHUDO..UNO PELUDO QUé !

... Luno mercudo...henno moustatchudo...cado ceint én, né quaou pas rincountra uno .."

Un dicton commun :

à la nuit noire tombée..

Lune rousse, femme moustachue..chaque 100 ans, il ne faut pas en rencontrer une..

C'était un signe de cataclysme... 

Désormais regardez bien le soir, à l'heure de rentrer..par exemple après une réunion du conseil municipal....comme disait maman !

Pierre VILLENEUVE

 

... A SUIVRE...

 

 

vendredi 22 juillet 2022

DE LA PRISE DE LA BASTILLE...A LA PRISE DE LA BASTIDE...UN JEU DE PAUMé..TELLE UNE ZAD ?

 



Dans le lointain, s'élevait un chant des partisans de reconquérir la Bastide Saint Lys.

Certains d'ici, dont le sang est occitan, connaissent ces couloirs menant à la bastide de Saint-Lys. Il suffit d'emprunter ces réseaux souterrains et de se retrouver dans la Bastide de Saint Lys.






 Cette vue de Saint-Lys serait déterminante afin de trouver une des entrées dans la Bastide de SAINT LYS  par les souterrains.

jeudi 21 juillet 2022

CES MAUX POUR LE DIRE

EXTRAIT DES QUALIFICATIFS EMPLOYÉS PAR LES HOMMES DE LA LISTE MAJORITAIRE DANS LA REVUE MUNICICIPALE  N° 30 

( en effet le texte comporte des fautes d'élégance envers les femmes puisqu'elles ne sont pas citées. 

Vous noterez dans le texte..."...les élus...) et non les élu(e)s mais aussi "...les citoyens..." et non les " citoyennes). Assurément un manque de respect et d'éducation...Il est où le DROIT DES FEMMES

En résumé, à la lecture de ce texte ; " DE QUOI ATTRAPER LA BAILLIADERO..!"

"......Les aboyeurs de rue, grognons de l’internet et autres Gargamelles de salon y trouveront toujours à redire...."

 Ainsi en utilisant ces noms d'oiseaux, les nombreuses et nombreux concerné(e)s s'autorisent le DROIT DE RÉPONSE s'ouvre .." sans poser plinthes autour de ce cadre "


Après consultation des dictionnaires LAROUSSE 2023, QUILLET, LE ROBERT

et bien d'autres, et patois local, nous vous livrons la traduction des mots surlignés en bleu et notre analyse.

le groupe a relevé, à l'envi sous la halle, que c'était une bien belle couillionade... le saintiroulett était agité, que durant cette rédaction deux femmes et homme  " soun passat coumo un pet à brespo..", pour ne pas être d'accord.

ABOYEUR - ( nous traiterons Gargamelles et grognons ultérieurement )

ABOYEUR - 

Cet adjectif, flatteur, s’emploie plus fréquemment au féminin. Il caractérise une personne dont le métier exige qu'elle parle en criant. La subtilité consiste dans son utilisation au niveau du contexte.

Effectivement pour impressionner son adversaire ce mot est très usité dans diverses assemblées politiques, professionnelles, syndicales; Sénat, Assemblée Nationale, Conseil Régional, Départemental, Conseil municipal afin de paraître et cacher son incompétence. Le texte ci dessus, paru sur le journal, montre qu'il existe dans son sein des aboyeurs et aboyeuses.Cela peut être "un compliment" adressé à des porte-voix

On retrouve ce mot aboyeurs et aboyeuses dans la cuisine des GRANDS CHEFS. C'est une fonction déterminante au niveau du "passe-plat" des pianos vers la table des clients ou des invité(e)s. On peut voir ce poste important dans un restaurant bien connu, paraît il, dans le Gers 

Au Tournoi de Tennis " Rolland Garros", les aboyeurs et les aboyeuses sont très prisés.
Le Comité d'organisation est friand de ces postes de communication, de guide, d'intervenant sur les courts. Ils sont chargé(e)s entre autres également de maintenir au sol la terre battue afin d'éviter des envolées couleur brique rouge alentour. StLys a eu l'honneur d'avoir des aboyeurs et aboyeuses, il y a quelques décennies, à Rolland Garros.

Au Moyen Age existaient ces aboyeurs et aboyeuses afin de clamer et vanter leur savoir faire. Ils (elles) étaient très demandé(e)s et exécutaient toutes sortes de tâches. Dans la Bastide existaient ces métiers en 1281,date de la fondation de SAINT LYS. Un affuteur de couteaux, faux,ciseaux, machanto léngo, se tenait prés de l'ancien puits, situé au centre de rue du Fort,sous les meutriéres,. Encore aujourd'hui subsiste ce genre d'aiguiseur ..

LA CONFRERIE DE L'AOUTA

Les mots écrits en patois local n’existent que dans la mémoire des anciens. Ce parlé, c'était au temps ou nous étions des "trufaïré". Dans ce langage il y avait de l'humour, de la sagesse, du respect et de la reconnaissance en nous toutes et tous. Aujourd'hui la brutalité est d'actualité et ne fait que nourrir la haine. Ces crampes stomacales ne font rire que les bouffons. Laissons donc ces " aganits". L'avenir nous appartient.... " léou.. ban poudé souna las campanos.. et faren toutt  pétat !"

         "PARDONNONS LES ..ILS NE SAVENT PAS CE QU ILS FONT.."

vendredi 15 juillet 2022

NE JAMAIS PERTURBER UNE HARDE de SANGLIERS A L HEURE DU RUT !

 

 

 

ENTRE EAUBELLE ET AYGUEBELLE UNE HARDE BLOTTIE DANS LA BAUGE 

Depuis quelques temps, la commune de Saint-Lys, étendant son territoire au-delà de la BASTIDE, entre les cours d’eau ancestraux de l’Eaubelle et de l’Ayguebelle, accueille une harde et non pour l’instant une horde, de sangliers.

Déjà quelques alertes ont été signalées allant des riverains, des agriculteurs et maintenant des citadins, récemment aux alentours des campagnes et plus inquiétants aux portes du pont Levi.

         UNE HARDE COMPOSÉE DE LA LAIE …

                           SUIVIE  D’ UNE VINGTAINE DE MARCASSINS

Suivant les photos transmises nous remarquons que le mâle à la queue courte, est accompagné de sa laie, quelque part peu alléchante. Pour les reconnaître dans les forêts alentours, vous remarquerez le groin du mâle dominant et son mal être. La Laie, elle, est plus préoccupée par les marcassins. Le groin est fait comme «  un naz pountchuc coumo un brusquet dés tino » préciseront celles et  ceux pratiquant le patois local. Certains marcassins sont des « ragots », d’autres plus grands et moins futaie sont des « tiers », les ainé(e)s sont des « quartanier », mais le mâle  croyant être dominant reste le « solitaire ».

              UNE CHASSE ORGANISÉE EN RÈGLE

Mais au-delà du fruit des fendus, la meute doit se nourrir. Un groupe de randonneurs l’ a vu fouiner les glands de toutes les parties des chênes, des ados ont épié les 3 derniers marcassins trainant leurs sabots ( 2 femelles et un mâle) dissidents, pas d’accord avec le chef de chœur au groin épouvantable. ( d’où vient en patois local )..as un mour dés gous !

 La vingtaine restante faisait du museau, il fallait lever le sabot et obéir.

Cette chasse  au groin était très organisée dans un désordre habituel. Ici on chassait ces petites bêtes féroces qu’on appelle «  gargamelles », les têtes de série de la horde, pardon de la harde, tentaient de contourner les aboyeurs, bien plus malins, enfin le ventru, court sur pattes,  chef de ce troupeau inculte tentait de débusquer ces sublimes  fleurs étonnantes de leur gourmandise « les grognons ». Au gré des vents dominants la horde suait, à poils..hérissés. Le ventre était vide comme la tête.

    UN CONSEIL ? NE CHASSEZ PAS SUR LES TERRES DES AUTRES                

Ces insectes salvateurs se retiraient de la scène, se regroupaient, d’autres nouveaux regagnaient l’essaim et ainsi d’augmenter leur force de pénétration, apercevant que la harde était prise au piège et de chanter à l’unisson « on les tient ! »

La harde devait regagner la bauge, faire le point de cette maigre cueillette et de donner une belle fessée aux 3 ragots dissidents d’avoir  vendu la mèche…tels ces poils incorrigibles tirés du double langage

  Il fallait se résoudre enfin à cette maxime de La Bastide 

                                  « à cado porc ben soun nadal ! »

                                                                                  

(merci aux très nombreuses et nombreux humoristes ayant participé à la rédaction de cette fameuse histoire d’une harde de sangliers. )

 

dimanche 10 juillet 2022

UN BIEN BEL HOMMAGE AUX SAPEURS POMPIERS D HIER ET D AUJOURD HUI -

 


Profitons de l’inauguration, le 2 juillet 2022, de la nouvelle caserne flambant neuve située route de Toulouse pour rendre hommage à tous nos pompiers.

Remontons un peu le temps :

En 1963, Saint-Lys et ses 11 communes dépendent du centre de pompiers volontaires de Rieumes. Pierre VERDIER, maire de Saint-Lys, entend les Saint-Lysiens « Rieumes est trop éloigné ». Il obtient l’autorisation de créer un corps de sapeurs-pompiers volontaires à Saint-Lys afin d’intervenir rapidement auprès de la population. La création est entérinée par arrêté préfectoral du 12/12/1963.

Le centre de pompiers dépend du maire. Tout est à faire : trouver les volontaires, les véhicules, le matériel…etc..

Maurice SEGALA sera Chef de corps

André LORIN son adjoint

Robert GISQUET et Jacques LATOUR respectivement médecin et médecin suppléant.

Voici la liste alphabétique des pionniers du centre de secours de Saint-Lys :

Adolphe ANDRIEU                                                Marcel NAUDY

Jeannot BALES                                                       Henri OLIVIER

François BILLARD                                                  Gabriel PONS                                

René BURR                                                             François REY                                              

Roger CLAUZET                                                     Elie RUMIEL                                   

Jean DORBES                                                         Marius SAINTOUS                                                

Paul FAGOTAT                                                       Christian SZUREWSKY                             

André GALY                                                            Robert THOMAS                                                  

Germain LAFFERRIERE                                        Raphael VALERO                                      

Roger LALANDE                                                     Louis VIDAL                                                

Pierre MENEGHELLO                                          

Le 27 juin 1965 le corps de sapeurs-pompiers de Saint-Lys effectue sa 1ère manoeuvre d’entrainement près du lavoir de la gare (actuel boulodrome) avec remise de casques à l’issue.

Les Saint-Lysiens le demandaient, Pierre VERDIER l’a fait !

1ère intervention importante le 10 juillet 1965 à la ferme « Rossignol » route de Saint-Thomas. Feu dans un hangar rempli de foin. L’intervention des pompiers permet de sauver l’habitation après une après-midi, une nuit et une matinée de lutte et de surveillance.

Les véhicules sont stationnés Place de la Poste. Malgré les équipements personnels dont une partie fournie par les bénévoles eux-mêmes et l’utilisation au mieux d’un matériel dépassé, ne cédant jamais au découragement, les volontaires ont surmontés tous les obstacles.

Comment se passait l’appel des soldats du feu en 1965.

Le téléphone n’est pas installé partout, c’est la gendarmerie qui reçoit la demande de secours, qui dépêche un gendarme, le plus souvent, chez François Billard commerçant en cycle et motocycle sur l’avenue de la République, dont le vélo rouge marqué sapeur pompier était connu de tous. Celui-ci prend rapidement le volent du véhicule et klaxonne à tout rompre pour avertir les autres pompiers qui se rendent directement sur les lieux.

Janvier 1967 : Les véhicules et le matériel occupent un garage situé Avenue de la République, à l’emplacement de l’ancienne station-service Total de Mr et Mme LAFFONT.

Mai 1967 : l’effectif du centre de secours de St-Lys est de 16 volontaires.

Fin 1967 :  François BILLARD récupère la sirène à la gare de Muret. On l’installe sur le toit de l’hôtel de ville, le tour de la halle klaxon bloqué est terminé.

                                    1  sonnerie : intervention diverse

                                    2  sonneries : accident

                                    3  sonneries : feu

Juin 1972 : La municipalité achète à René BOUAS l’immeuble situé au croisement de la rue Libiet et rue du 8 mai 1945. Les pompiers s’y installent.

1976 : Le Centre de pompiers volontaires est construit à l’angle du cimetière. Les pompiers y resteront jusqu’en 2022.

Bien sûr, au fil des ans, certains ont quitté le Centre pour diverses raisons, Il y a eu les premiers départs à la retraite et l’arrivée de nouvelles recrues, nous ne les citerons pas, de peur d’en oublier.

Tous ont donné le meilleur d’eux-mêmes, volontairement pour leur village, leur commune, sans faire de bruit, simplement, avec courage et dévouement. Pas besoin de discours pompeux ni d’articles élogieux dans la Dépêche, pas besoin de réseaux sociaux (ils n’existaient pas).  Ils étaient là ! Présents !  et la population Saint-Lysienne reconnaissante  a toujours été derrière ses pompiers !  Il suffisait de voir la mobilisation pour la Sainte Barbe, patronne des pompiers. Jamais, on n’aurait laissé les pompiers défiler, seuls, à la sortie de la messe. La halle était noire de monde. Et le soir venu, tous se retrouvaient au fameux bal des pompiers ou mousseux et boudoirs régalaient tout un chacun.

Qu’ils en soient tous remercié, les chefs de Centre successifs, Maurice SEGALA, Germain LAFFERRIERE et Jean-Pierre LAFFERRIERE, le docteur Pierre MASSOL qui a beaucoup contribué dans la formation des pompiers et la prise en charge des blessés, les retraités (dont certains sont sur les photos de l’inauguration du nouveau centre) ainsi que ceux qui nous ont malheureusement quittés.

N'oublions pas les pompiers de l’ombre, ces épouses discrètes qui ont tremblé plus d’une fois pendant les interventions.

Enfin, merci à nos pompiers actuels qui ont su prendre la relève, femmes et hommes qui oeuvrent quotidiennement pour la sécurité des 33400 habitants de nos 11 communes. Respectez-les, soutenez- les, encouragez-les face à toutes ces incivilités qu’ils doivent supporter.

Nous avons besoin de nos pompiers !

N’oublions pas non plus leurs conjoints et conjointes qui, toujours dans l’ombre, sont le socle sur lequel ils peuvent s’appuyer.

L’effectif actuel composé de 52 pompiers volontaires et 6 professionnels assurent sous le commandement du capitaine Julien ORTEGA, digne successeur de ses prédécesseurs, environ 1200 interventions par an. 

15 femmes et 43 hommes dont 3 infirmières et 2 infirmiers ont pris possession de leur nouvelle caserne toute neuve depuis le 9 mai 2022. Elle a été inaugurée officiellement le 2 juillet 2022.

 Crécelle 6* de CCI, fin d’intervention, rentrons à la base !

Un grand MERCI à nos pompiers passés, présents et futurs !

·        Un des indicatif radio du centre de secours dans les années 1990  

·        CCI camion citerne incendie



Respect à l'association CADRE DE VIE pour ce remarquable et émouvant article relatant la fabuleuse histoire du CENTRE DE SECOURS DES SAPEURS POMPIERS DE SAINT LYS -

Cette page est un bien bel appel que les Saint-Lysiennes et Saint-Lysiens de souche  gardent en elles et en eux cet attachement profond à cette terre de la BASTIDE DE SAINT LYS...

Nous aurons une pensée forte pour celles et ceux ayant bâti ce Corps à l'heure de l'appel...Qu'ils  reposent dans la Paix


dimanche 3 juillet 2022

GAG ? FOU RIRE ? MOQUERIE ? " Errare humanum est, persevera diabolicum " UNE RELECTURE DU MAGAZINE du BI-MENSUEL ..LE MAG - n°30 ....de la publication

A CHACUN SON AVIS ...

" Le Maire serait il absent, un an durant, puisqu'il ne parle que de la rentrée 2023 ? "

" Mais alors qui va être Le Maire par intérim à la rentrée scolaire 2022 ? En principe, La ou Le Premier Adjoint(e) !"

"Et si c'était une année sabbatique ?"

 

Cette affiche de la MJCCS, dans sa  bande annonce indique :

La Maison des Jeunes et de la Culture, ( virgule) et non(2 points) sépare... Centre social de Saint - Lys  

QUELLE LIAISON : INVITE ?? OU INVITENT ??


 COURRIERS DE NOMBREUSES ET NOMBREUX LECTEURS ( merci de cette vigilance )

mais aussi de beaucoup de JEUNES !

UNE BIEN BELLE RENCONTRE A LA GARE SNCF D 'AUCH !

  APPELEZ MOI...MIMI !. De gauche à droit : un employé, le Chef de gare, la Maman de ma Marraine et patronne du buffet de la gare, ma Mama...